Spectacles vivants

Du mercredi 25 au vendredi 27 septembre,
au Lazaret OLLANDINI

Mercredi 25 septembre à 21h00

 

CONCERT Hitonari TSUJI – HIDE

Le talent musical de Tsuji Tsuji s’est manifesté dès 1979 avec la formation du groupe ECHOES à Tokyo. Leur premier album a vendu plus d’un million d’exemplaires. Avec plus de 2000 concerts donnés, ECHOES a laissé une empreinte inoubliable dans le paysage rock japonais.

En 2007, Tsuji débute un nouveau chapitre de sa carrière avec le groupe ZAMZA, dont les débuts se font aux Etats-Unis. Fort de plus de 40 ans de carrière, Tsuji Tsuji est sans aucun doute l’un des musiciens japonais les plus talentueux et reconnus de son temps.

Entrée : 20 euros (gratuit pour les moins de 18 ans)

Jeudi 26 septembre à 20h30

 

THEATRE RAKUGO – Cyril COPPINI

RAKUGO 落語 – CONTES HUMORISTIQUES JAPONAIS

Au début, il y avait les otogishū. De nos jours, on les appellerait des « consultants ». Ces orateurs étaient au service des généraux et des seigneurs des grand fiefs. Le moine Anrakuan Sakuden (1554-1642), du temple Seigan.ji de Kyoto, était un des meilleurs de sa génération. C’était non seulement un conteur hors pair mais ses histoires étaient souvent empreintes d’humour, un atout majeur pour mieux faire passer les messages qu’il voulait délivrer. C’est à lui que l’on doit les Seisuishō (Histoires tellement drôles qu’on en oublie de dormir – 1623 / Inédit en français), un recueil qui a inspiré une grande partie du répertoire Rakugo de l’époque Edo (1603-1868) que l’on continue de jouer sur scène à notre époque Qu’il s’inscrive dans la tradition Edo ou Kamigata, un Rakugo.ka digne de ce nom ne se déplace jamais sans son éventail (sensu) et son carré de tissu (tenugui). Grâce à ces accessoires, il donne de l’emphase aux situations qu’il mime sur scène, en restant assis sur les genoux (position seiza) sur son gros coussin (zabuton) : un samouraï qui dégaine son éventail-sabre ; le client d’une échoppe ambulante qui mange un bol de nouilles avec son éventail-baguettes ; un commerçant qui sort de l’argent de son tenugui-portefeuille ; une geisha qui tire une longue bouffée sur son éventail-pipe…
Les Japonais rient. Incroyable, non ?

Entrée : 10 euros (gratuit pour les moins de 18 ans)

Originaire de Nice, Cyril COPPINI commence à apprendre le japonais au lycée. Au début des années 90, il suit les cours de l’INALCO à Paris et pendant ses études universitaires décroche la bourse d’étude de l’université Shinshū qui lui permet de séjourner pendant 1 an dans la ville de Matsumoto et qu’il dilapidera honteusement en karaoké et izakaya (bistrot japonais).

En 1997, il s’installe définitivement au Japon (Fukuoka, Tokyo et Osaka). Artiste de Rakugo depuis 2011, il parcourt régulièrement la France et l’espace francophone pour faire découvrir en français cet art de la parole encore méconnu.

Originaire de Nice, Cyril COPPINI commence à apprendre le japonais au lycée. Au début des années 90, il suit les cours de l’INALCO à Paris et pendant ses études universitaires décroche la bourse d’étude de l’université Shinshū qui lui permet de séjourner pendant 1 an dans la ville de Matsumoto et qu’il dilapidera honteusement en karaoké et izakaya (bistrot japonais).

En 1997, il s’installe définitivement au Japon (Fukuoka, Tokyo et Osaka). Artiste de Rakugo depuis 2011, il parcourt régulièrement la France et l’espace francophone pour faire découvrir en français cet art de la parole encore méconnu.

Originaire de Nice, Cyril COPPINI commence à apprendre le japonais au lycée. Au début des années 90, il suit les cours de l’INALCO à Paris et pendant ses études universitaires décroche la bourse d’étude de l’université Shinshū qui lui permet de séjourner pendant 1 an dans la ville de Matsumoto et qu’il dilapidera honteusement en karaoké et izakaya (bistrot japonais).

En 1997, il s’installe définitivement au Japon (Fukuoka, Tokyo et Osaka). Artiste de Rakugo depuis 2011, il parcourt régulièrement la France et l’espace francophone pour faire découvrir en français cet art de la parole encore méconnu.

Jeudi 26 septembre à 21h30

 

CONCERT KOTO –  Fumie HIHARA

Fumie Hihara joue du koto et du shamisen, deux instruments de musique traditionnelle japonaise. Respectueuse de la tradition, elle se révèle aussi une musicienne innovante et flexible. Elle se propose d’explorer le potentiel des ces instruments traditionnels afin de nous livrer la plus pertinente expression d’une expérience musicale qui lie le passé et le présent. Elle devient maître de koto à l’âge de 17 ans et est ainsi la plus jeune musicienne à obtenir le certificat de professeur. Diplômée de l’Université nationale des Beaux-Arts et de la Musique de Tokyo, Fumie Hihara a participé à de nombreux festivals et donné des concerts en Europe et au Japon. Elle joue avec différentes formations musicales et elle a enregistré plusieurs disques.

Entrée : 10 euros (gratuit pour les moins de 18 ans)

Vendredi 27 septembre, à 21h00

 

Ciné-concert

« L’île en enchantée », de Henri ROUSSEL

1927, muet et NB en version restaurée (1h44)

La construction d’une usine en Corse provoque bien des drames. Gisèle dirige l’aciérie de son père en Corse. Ils souhaitent édifier un barrage pour alimenter en électricité leur usine. Mais cela signifierait la destruction d’un vieux château transformé en moulin où habite un vieil homme. Ce vieillard est le père d’un bandit corse qui a pris le maquis suite à une vendetta. Gisèle le rencontre …

Accompagnement musical avec une bande originale électro spécialement composée par Ørsø

Entrée libre